Hier

L'histoire de notre association se conjugue avec celle de l'orphelinat. D'une initiative  individuelle, nous sommes passés à une structure associative fonctionnelle, assurant la liaison avec nos correspondants locaux pour le bien être des enfants.

De 1995 à 2013, Sainte Thérèse de Lumbilla a accueilli 443 enfants de 0 à 18 ans

Hier - 2008 - l'orphelinat accueillait 110 pensionnaires, du nourrisson de quelques jours aux jeunes adultes.  Nous avons vu cette structure s'enrichir des équipements qui aujourd'hui lui confèrent une partie de sa viabilité économique. Bassin à spiruline, pizzeria-boulangerie, cheptel ovins, caprins, porcins et plus récemment un élevage de bovin. Dans un pays sahélien, cet environnement  constitue un oasis

2012 : ce film rend compte des actions réalisée en local par Alif NAABA, artiste burkinabais. Il y est  fait référence "aux amis de l'étranger" - parmi lesquels Kamsaagré - a contribué à la réalisation de certaines opérations, dont l'ouverture de 3 classes. Le nombre d'enfant à chuté considérablement. Seuls 52 enfants sont pris en charge au sein la pouponnière Cette dernière nécessiterait une extension et du matériel, ce dont rend compte le reportage .

2013 : de façon incidente, nous apprenons que Pascaline - que l'on voit dans la vidéo  - a été remplacée par Geneviève KANSOLE. Cette information est recoupée par un article du SIDWAYA, journal burkinabè rendant compte de la visite de "L'amicale des femmes de l'Assemblée Nationale" à Lumbilla. Dernière cette nouvelle, se greffent toute une série de problèmes administratifs, parmi lesquels, la modification de nos statuts - Pascaline étant notre relais sur place et seule habilitée à recevoir les fonds transférés...

Aujourd'hui

2015 :  courant 2014, Jean-Marc LEPRADO, notre président rétablit le contact avec l'orphelinat. Un de nos nouveaux membres, Bertrand,  se rend sur place, à la fin de janvier 2015 pour prendre contact de visu, faire un "état des lieux sommaire" . Il est question d'une visite au cours de l'année 2016 de Geneviève sur Paris.

2016

Janvier : Bertrand se rend une seconde fois au Burkina, dans le cadre d'un voyage professionnel. A la clé un reportage photo et une analyse plus fine de la situation qui sera confirmée au cours de notre rencontre avec Geneviève en mai à Paris.

Mai : Nous rencontrons Geneviève à Paris. Cette visite va être l'occasion de régulariser un certain nombre de détails administratifs qui restaient en stand by. Au cours de l'entretien, Geneviève nous confirme certains points soulevés par Bertrand au cours de sa visite. De 110 en 2008, le nombre d'enfants a chuté à 52 en 2013 (voir le reportage "Le coeur d'Alif Naaba) et s'établit désormais à 48. Cette diminution s'explique par une volonté marquée du ministère des affaires sociales qui souhaite que les enfants ne fasse qu'un passage limité au sein de l'orphelinat. Par ailleurs, le ministère favorise l'adoption des enfants au sein de la société burkinabè, pour éviter des hiatus que l'on peut aisément comprendre. 

Demain...

S'il est certain que demain a déjà commencé et que les objectifs d'autosuffisance vers lesquels tend l'orphelinat sont à portée de main, notre action reste essentielle. La nécessité d'étendre la pouponnière et de  la doter des équipements adéquates reste prégnante. Certains d'entre eux commencent à dater, le reportage photo de Bertrand, bientôt en ligne le démontre très nettement.

Notre principale motivation, sans cesse réaffirmée reste le bien être des enfants. Il est clair, que nous pouvons toujours apporter une aide substantielle pour valider cet objectif.

C'est pour cela que nous vous sollicitons afin que nous puissions, vous puissiez être des moteurs dans la réalisation cet objectif qui tient dans notre ADN : Kamsaagré signifie "l'espérance des enfants".

Par le passé vous vous êtes mobilisés pour rendre possible certaines réalisations. Que votre élan de générosité puisse permettre qu'aujourd'hui puisse rendre demain meilleur ...